mardi 19 janvier 2010

Morceaux choisis - Koan zen




Koan zen

Un koan est une brève phrase-énigme dans la tradition zen du bouddhisme qui, après une longue pratique, révèle son au-delà de toute logique apprise.

Il n'y a rien à faire, nulle part où aller, tout est parfait.
Lorsqu'il n'y a plus rien à faire, que faites-vous ?
Quel est le bruit d'une seule main qui applaudit ?
Une journée, une vie.
L'homme regarde le miroir, le miroir regarde l'homme.
Le courant rapide n'a pas emporté la lune.

Une illusion peut-elle exister ?
Non anxieux ici, non anxieux toute la vie.
J'éteins la lumière, où va-t-elle ?
Qui excelle au tir ne touche pas le centre de la cible.
Quel était votre visage avant la naissance de vos parents ?
Ce qui te manque, cherche-le dans ce que tu as.
Pour savoir si l'eau d'un bol est chaude ou froide, il faut y mettre le doigt... Il ne sert à rien de discuter.
Un de gagné, un de perdu.
Jour après jour, c'est un bon jour.
A esprit libre, univers libre.
La courbe ne peut inclure la ligne droite.
Maison pauvre, voie riche.
L'heure me regarde et je regarde l'heure.
La lumière existe dans l'obscurité ; ne voyez pas avec une vision obscure.
La haine seule fait des choix.
Recherchez la liberté et vous deviendrez esclave de vos désirs. Recherchez la discipline et vous trouverez la liberté.
Quand un homme ordinaire atteint le savoir, il est sage. Quand un sage atteint la compréhension, il est un homme ordinaire.
La voie est sous vos pieds.
Le bambou existe au-dessus et en dessous de son nœud.
En ultime analyse, toute chose n'est connue que parce que l'on veut croire la connaître.
L'homme regarde la fleur, la fleur sourit.
Les ignares se délectent du faux clinquant et de la nouveauté. Les gens cultivés trouvent leur plaisir dans l'ordinaire.

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